Et nos textes hors forum [ ? ] =)

Je l'ai lu hier soir.
J'aime bien. Fais attention à toi quand même...

Mes textes sont juste plein de sous entendu ma chère Fée =)

Euh...Mathieu, c'est pas Chuuut-please [j'aime pas son prénom ><], hein

Puis de toute façon Fée, tu ne connais que les textes que j'ai posté ici >___< Il y en a d'autres beaucoup plus simple à comprendre.

Comme ceux de tes posts???

xD

Bref moi j'ai compris... Peut-être parce que tu ressemble étrangement (niveau façon de penser et caractère) à mon meilleur pote?

J'ai compris ce que tu disais... Et je trouve que tu l'a bien écrit ^^

Pourquoi je ressemble à ton meilleur pote? XD

Bluuuuue ? Quelqu'un t'a posé une question, tu pourrais répondre xDDD

Un texte, un texte...

Ca fait peur quand je relis ça...

Anh , plus j'imagine et plus jle déteste. Plus je l'imagine et plus je La* déteste. Comment, pourquoi? Mais merde quoi ! Je suis trop conne, ça fait trop mal de lui* parler. Je l'aime trop pour ça. Elle* laisse trop de marques. Je suis amoureuse d'Elle*, pourquoi ? Putain ça fait mal merde ! Aidez moi ! Remontez moi très haut ! me laissait pas voir le fond du puit ! Trop tard. Les pieds sur le fond, bien collés, agglutinés dans une masse épaisse et gluante. L'espoir est là haut, il me toise. Putain, j'arrive toujours à le toucher pourtant il est si haut, si loin. Je ferme les yeux et je la vois. Ohwi, vas y, regarde moi de haut ! Dis moi que t'as envie d'elle ! que tu as eu envie d'elle, que tu auras toujours envie d'elle ! Dis moi que tu as pensé à lui, que tu tombes d'amour aussi pour ce connard que je hais! Vas y ! Dis moi que tu* as été jalouse, que tu* te ferais bien cette fille qu'a prit ma place ! Dis moi que tu* veux qu'on soit amies ! Putain c'que ça fait mal ! Enfonce le couteau plus loin, j'ai envie, que tu* me tues, encore un peu. Anh j'en ai envie, tellement envie. Tue moi ! Achève ton travail ! Souris moi pendant que le liquide chaud coule sur ma peau nue. Anh, oui, encore ! Vas y ! Embrasse moi ! Caresse ma peau du bout de tes doigts! Mord la peau de mon ventre, de mes poignets, de mes cuisses, de mon cou... Putain c'que j'en ais envie ! Glisse ton corps contre le mien, tes mains enlaçant les miennes, tes lèvres se baladant sur ma mâchoire, lentement. Encore... Ta cuisse entre les miennes, tes mains sur mon visage et mon ventre, un sourire sur tes lèvres, celle ci qui s'approchent des miennes. J'ai tellement, tellement, tellement envie de toi ! J'te* déteste... " Déteste moi, Hais moi, Tant que c'est toi " ... Oui, dis le encore ! S'il te* plait, Pitié ! Je veux t*'entendre encore le dire! Je veux encore entendre ton souffle que je ne pourrais pas sentir sur mon corps, Laisse moi entendre tes gémissements, mon prénom soufflé, anh oui, je veux l'entendre encore ! Laisse ta langue se promener sur mon corps puis mon corps se fondre au tiens ! Dans deux respirations qui s'accélèrent à l'unisson, anh, oui je veux entendre ça ! Des que possible ! Anh oui.. Je veux goûter ta peau... Je veux toucher ton corps... Entendre ta respiration... Regarder chaque centimètres carré de Toi*, sentir ton nouveau parfum... Plus si nouveau maintenant... Envie de tout ce que j'ai pu te dire, de tout ce qu'On* a pu se dire...

T__T

I'm choked xD

J'suis trop jeune pour ça xDDDD

And now, en esclusivité totale et entière x)
La suite de Les ombres du passé, partie 1: Nein !!!!


Douleur. Souffrance. Larmes. Cela faisait plusieurs heures qu'il était seul, le corps indemne mais le moral touché. Les mots l'avaient blessé, plus encore que les coups qu'il n'avait pu esquiver. Comment aurait-il pu le faire ? Comment aurait-il pu parer les attaques de « l'aigle de foudre » ? Personne ne pouvait accomplir cet exploit. Pourtant, « l'aigle » s'était retenu, il n'avait pas donné le meilleur de lui-même. Peine perdue, Nein s'était avéré incapable de se défendre, encore moins de contre-attaquer. Les phrases que son maître, ainsi qu'il l'appelait, avait prononcé avait détruit Nein. Les lettres s'enroulaient, formant des syllabes dévastatrices, pleines de mépris et de déception. Le garçon, âgé de 5 longues et dures années, se répétait depuis une éternité ces mots désormais dénués de sens. Au fond de lui, il n'en connaissait plus que trois. Douleur. Souffrance. Larmes. Avant, il en aurait rajouté quelques uns. Douleur. Souffrance. Larmes. Joie. Rires. Amitié.

Douleur et souffrance, intimement liés. Larmes et rires, frères ennemis. Joie, perpétuel contentement de satisfaire son maître. Amitié envers lui, amitié qu'il croyait réciproque. Quelle erreur.... Il était seul. Seul. Seul. Seul. Un quatrième mot, qu'il apprenait, comme un enfant apprend à lire. Un enfant seul, voilà ce qu'il était. Il ne pouvait compter sur personne, et plus sur son maître. Une haine féroce l'envahit, et il se releva, essuyant ses yeux. Les pleurs seraient pour plus tard. Il fallait qu'il trouve quelque chose à manger, un endroit où dormir. Il était seul, abandonné par celui qu'il avait cru être son tuteur. Encore une erreur. Des nausées le prirent, et il se pencha pour vomir. Plus tard, il aurait le temps de repenser aux derniers mots. Plus tard. Il se redressa, il devait manger pour reprendre des forces. Il allait voler quelque chose, s'en sortir, tout recommencer. Il fit un pas, un seul, avant de s'écrouler. Épuisement. Noir. Néant. La mort ?



Il revient un petit peu en arrière, juste un pas vers le passé, quelques heures avant les pleurs. Le lieu change, la rue disparaît et laisse place à une pièce exiguë.


Il frappe. Encore, et encore. Des coups que Nein ne peut parer. Des coups terriblement douloureux. Nein a cinq ans. Il a mal, très mal. Il est petit, il passe entre les jambes de son maître. Mais son maître est malin. Il a de l'expérience. Il coince Nein, attrape son poignet. Un sourire se glisse sur son visage, il fait mal à Nein. Mais Nein est habitué. Son maître lui a expliqué. Il faut qu'il apprenne à se défendre, qu'il apprenne à souffrir. Le maître dit que Nein va affronter des dangers impensables. Nein n'a pas peur. Son maître est la seule personne qui lui fait peur. Quand son maître est en colère, ou en proie à un accès de convulsions, mieux vaux partir, s'éloigner. Loin. Très loin. Son maître est impitoyable. Quand il frappe, il fait très mal. Il sait où frapper, quand...Il sait tout, son maître. Nein est fier de son maître. Nein a mal, mais il souffre en silence. Nein aime son maître. Le maître aime Nein. Mais il doit lui apprendre à souffrir. C'est normal. Nein a mal, mais il ne déteste pas son maître. C'est son destin, souffrir. Le maître dit que Nein peut changer le monde, si il souffre. Si il a du courage. Nein ne connaît pas le monde. Mais Nein fait ce que son maître veut. Nein est obéissant. Nein esquive le pied de son maître, de justesse. Il réussit à libérer son poignet, c'est bien. Il saute, et son poing part vers le visage du maître. Si il touche le maître aujourd'hui, le maître sera content. Très content. Il ne frappera pas Nein, il lui apportera quelque chose de bon à manger. Nein met toutes ses forces dans son poing. Le nez du maître approche, les doigts vont le toucher, l'écraser. Le maître va être joyeux. De plus en plus vite, le visage est de plus en plus prêt. Bientôt. Bientôt Nein va frapper son maître. Nein sourit, il est sûr de lui. Comment le maître pourrait-il esquiver ? Il effleure le nez, son sourire s'agrandit. Et s'efface. Brusquement. Le maître a saisit le poing de Nein, et l'a détourné. Il frappe Nein, à l'estomac, lui coupe la respiration. Nein a mal. Nein pleure. Nein pleure parce qu'il sait qu'il n'a pas touché son maître. Le maître va le frapper, très fort. Nein éclate en sanglots. Le maître parle. Le maître crie.

« Tu es minable. Arrête de chialer comme un gamin. Tu n'es plus un gamin, Nein. Tu as cinq ans. Tu es celui qui doit sauver le monde. Tu n'as pas le droit de pleurer. Ferme-là ! Allez, tais-toi ! Tu dois être fort, tu m'entends ?! Fort ! Tu dois faire taire tes pleurs, prendre les coups jusqu'à en saigner mais ne jamais pleurer. Tu as cinq ans ! Tu es notre dernier espoir. Ta mère n'aurait jamais voulu que tu sois faible ! »

Brusquement, le maître se tait. Nein redresse la tête, se tient le ventre et laisse ses larmes couler. Le maître a parlé de sa mère ? Il la connaît ? Nein a mal. Nein est heureux, il a une mère. Où est-elle ? Mais le maître reprend la parole, et Nein tait ses pensées.

« Tu dois être fort. Pour tous ceux qui croient en toi. Tu dois taire tes pensées, tes sentiments. Tout. Tu dois devenir une machine à tuer, à faire mal. Pour sauver le monde. Tu as un pouvoir en toi, Nein. Mais je viens de réaliser que tu es bien trop faible pour le réveiller. Jamais tu ne seras le sauveur de ce monde. Ta mère a eut tort de croire en toi. J'ai eu tort de gâcher 3 ans de ma vie à essayer de t'enseigner ton devoir. J'ai fait ça pour ta mère, Nein. Pas pour toi. Jamais pour toi. Tu ne me reverras pas, tu n'atteindras jamais mon niveau. Tu es faible, inconscient. Tu ne devrais pas exister. Tu déçois tellement de gens. Trop. Je devrais te tuer. Mais pour ta mère, je ne le ferais pas. Adieu, petit Nein. Tu ne me reverras jamais. »


Il revient dans le présent, laissant ses sentiments l'envahir. Il aime toujours son maître, malgré les trois ans qui séparent son ancienne existence de celle-ci. Il aime son maître, mais il ne voulait pas revivre ces heures...Pourquoi est-il revenu ? Pourquoi ? Pour le faire souffrir ? Celui qu'il appelait Nein n'est plus, ne reste que Ébène, son surnom dans le monde du vol. Nul ne connaît cet ancien surnom, sinon lui. Son maître. Son passé.

Réactions...? x)

Lui jlai pas mis je crois.


Dans l'absence de lumière comme dans le jour... Omniprésente et absente à la fois... Comme perdue dans un sol ou l'éclair serait tombé et ou tout n'est devenu que poussière. Si faible et si forte à la fois. Comme deux petits anges du néant... Là ou tout et rien existe à la fois. Qui dansent et dansent, tournent, rient et respirent à pleins poumons la vie... Moi je suis vide et mes ailes ont cessées de pousser il y a longtemps... Je cherche un nouveau moyen de m'évader, une solution à un mal être ambiant. Je cherche ma lumière dans l'obscurité.Mais que sont les voyages? Ou est la vérité? Ou dois je trouver la sortie? Aucun panneau lumineux ne me l'indique... La lumière, la lumière... Mais pourquoi est elle source de vie? Moi j'aimerais être une jolie petite fleur qui pousse à la lumière du soleil. Pas de vie artificielle, je ne veux vivre que la vérité. J'ai de l'eau, plein d'eau, c'est beau, l'eau. Elle ondule sur ma peau le matin, se glisse sur mes joues en toutes situations... La pluie, les larmes, tout ça c'est du pareil au même.

Dans le noir, les yeux ouvert, on s'habitue lentement. Les pupilles se dilatent, cherchant à laisser rentrer toute la lumière possible sur la rétine. Ca ne fonctionne pas. Mais le noir... Je vis dans le noir. Mes pupilles le montrent. Je veux plus de lumière, encore et encore. Je veux vivre dans le noir et absorber toute la lumière qui y subsiste. Encore, encore et encore. Je veux le murmurer. Je veux laisser vrombir le silence, sentir le vent sur ma peau encore et toujours, bercée par le seul bruit de la nature. Fais-moi vivre le noir... Donne-moi tout. Et la lumière de la flamme qu'on observe pareille à de la soie vibrante. Rouge, orange, bleue même parfois, noire... Je veux être pareille à cette lumière envoûtante, je veux être la soie qui brûle... Je veux laisser des marques sur la peau, faire rougir quand on s'approche d'un peu trop près. Retiens... Retiens mes mots je veux te corrompre.

La lumière aspirée, la lumière je l'avale. Comme une petite fée au halo lumineux, je laisse tomber ma poussière sur ceux qui le désirent. Un sourire contient autant de lumière que le soleil lui-même. Je suis un tournesol, j'aimerais être O négatif pour pouvoir donner à tout le monde... Mais je ne suis qu'une O positif et je peux pas... Blasphémons mon corps... Pourquoi je suis née comme ça... Atteins-moi encore... Que je vienne jeter un froid...

Et chante, chante, tourne sur toi même et ris... Ris de ta vie et de la futilité de tes mots. Ris de leurs vies et de la futilité de leurs mots... Ris de ta bêtise et de la bêtise humaine... Ris de l'inhumanité et de ta propre perte...

Puis lève-toi et sors de tes cauchemars. Du soleil, il y en a, ta rétine en est inondée... Et ton cœur aussi.

Joli...J'aime beaucoup :')

J'ai écris autre chose cette nuit. Vers 2h du matin. ça.

" L'araignée Gibsy monte à la gouttièreuh tiens voilà la pluie... Gibsy tombe par terre ". Ainsi murmurait-elle dans le froid de sa prison. C'était comme ça depuis longtemps. On se sent terriblement gauche quand il s'agit de tout cela. Tellement faible, peut être même dominé alors que c'est chacun notre tour de décider. " C'EST MOI LE LOUP! ". Ou plutôt ça l'était. Qu'en penser, je ne sais plus trop. Au départ c'était amusant de ressentir cette sorte de symbiose entre nous puis ça m'a vite fait déjanter. C'est comme une affaire de domination, d'abandon et d'attente. Je l'ai attendu, elle aussi et ell3 encore plus. Je ne sais pas si c'est une bonne chose mais je crois que c'est ce dont ma vie est faite. J'ai pensé à Lui* quand j'étais avec elle. Puis j'ai jouis des mots d'elle pendant cette même relation. J'ai même pensé à ell3 et au final tout ça me semblait terriblement naturel. Effrayant... C'est terriblement déconcertant de voir à quel point nous n'avons plus aucune retenue quand il s'agit des autres. C'est terriblement déconcertant de voir à quel point je n'ai plus aucune retenue quand ils s'agit d'eux.
C'est dur à expliquer, dur à faire comprendre à vrai dire. J'ai passé mon temps à les regarder de haut, à tout faire pour les avoir, à tout faire pour disparaitre de leur vie ensuite. Et alors que j'aurais voulu qu'ils m'oublient, à l'instar des autres pour qui je voulais rester un fantôme bien vivant, eux ne m'ont pas oublié. Quelques années depuis le coup d'envoi, on en est toujours à la même situation, avec les mêmes acteurs et les mêmes répliques. Certains ne changent rien à leur façon de voir et d'autres, comme moi, changent de proie. Je parle de proie car je suis certaines qu'ils le voient comme ça. En réalité, on se désire tour à tour, épuisant notre stock de possibilité. L'avantage ou au contraire, le désavantage, c'est que ça ne me gêne en rien que ce soit une fille ou un garçon.
Je crois que je suis passée par toutes les émotions, que j'en ai souvent souffert mais qu'au final ça m'a forgé. Je suis devenue grâce ou à cause de ça quelqu'un de totalement différent de la Amandine qu'on a pu connaître. Alors que j'étais timide, chaste, gentille, soumise et stable, je suis devenue cette fille qu'on croit alors qu'on ne devrait pas. Je suis timide quand je le souhaite, beaucoup moins chaste, absolument manipulatrice en gardant cependant toute ma gentillesse... Croit qui veut... Et dominatrice et infidèle. Notre destin à tous? Apparemment. J'ai changé, j'ai vécu. On ne peut pas dire qu'il en soit de même pour ceux autour de moi. J'ai parfois l'impression que nous avons justement trop vécu. Que nous avons eu des poussées d'adrénaline trop forte, qu'on est des souris qu'on a foutu dans des petites cages en verre pour voir " ce que ça faisait ".
J'ai pleuré, j'ai écouté, je me suis dis qu'à partir de ce moment, avoir de la mémoire pourrait être assez utile. J'ai gardé les informations pieusement, tout. Tout ce qu'ils me disaient. J'en ai fais des amis, des ennemis, des gens présents dans ma vie ou plutôt on s'est rapproché, sentant peut-être que c'était ce qu'il y avait de mieux à faire.
On s'est écouté, entre-aidé, tout en faisant attention -pour ma part- à garder une certaine distance. Je refusais de me livrer aussi facilement, tout travail mérite salaire. J'étais devenue ce que je haïssais le plus au monde. Je me servais d'eux comme ils se servaient de moi. On le savait et pourtant... Pourtant jamais on ne s'est plaint. C'était comme ça, c'est tout.
J'ai vu les blessures qu'ils avaient, ils ont vu les miennes. Les années s'écoulaient avec toujours autant d'ambigüités, des disputes éclatants autour de moi parce que : " tu ne peux pas commencer une nouvelle relation tant que tu penses encore à Lui* ! ". Eh bien si. Ça peut même durer deux ans sans que je ne l'oublie Lui*, ni elle, ni ell3. Trois personnes dont j'ai perdu la trace mais qui au final sont resté dans un coin de ma tête, omniprésent... Je m'en suis terriblement voulu d'être partie mais il le fallait. Et même si je hais la fatalité, il est possible que cet abandon passager était nécessaire pour pouvoir prendre du recul. C'est ce qui m'a permis de me rendre compte du comment et du pourquoi je suis comme je suis. Les choses qui m'ont forgé. Une sorte de création mais de nos jours. La façon dont les échecs, les envies, les désirs ou toutes les autres conneries que j'ai pu vivre ont fait de moi ce mélange instable, prêt à exploser. Cette mère louve prête à mordre pour défendre ses petits, dans le contexte, son histoire et la nécessité de l'avoir vécu.
Je n'ai jamais accepté que l'on me répète le mal que je disais d'eux. Je n'ai jamais accepté que ma sœur me dise que ce garçon était vraiment qu'un gros connard. Non, jamais je n'ai accepté. Tout comme je n'ai jamais accepté qu'on dise d'ell3 qu'ell3 bousillerait ma vie de couple ou qu'elle est une salope inconsidérée sans devoir moral. Je n'ai pratiquement jamais pensé ça d'eux. Sauf peut être dans certains contextes endoctrinés. J'ai chassé les médisances et garder leurs petites ailes blanches bien à l'abri des boules de boue qu'on leur lançait. J'ai tout pris sur moi et m'en suis retrouvée toute tachée.
On m'a bien souvent reproché que je les rendais tout blanc, qu'ils avaient eux aussi leur part de méchanceté et un rôle inéluctable dans ma dépression. Je ne sais plus tellement s'ils ont eu tort ou pas de me dire ça. Toujours est il que même maintenant, je refuserais de dire qu'untel m'a brisé alors que c'est sûrement la vérité. Et plutôt crever que de m'enfuir, même si je l'aime et que je sais que j'en souffrirais. Je suis comme ça, je suis devenue comme ça à vrai dire.
Et ma vie n'en est que plus réelle après tout ces épisodes. La fin ne sera jamais là.
Il est des choses que je n'arriverais jamais à faire comprendre aux autres, inévitablement. Je sais très bien qu'ils ne saisiront jamais l'impact que cette vie a eu sur moi. Ils ne chercheront même pas à savoir les raisons pour lesquelles j'ai tellement besoin de leur reconnaissance, de leur partage, de leur présence. Je sais que toute ma vie sera faite de cela, qu'il n'existera pas un mois de mon existence où je n'aurais pas envie de les re-contacter. Je sais bien qu'aucune histoire parallèle, aucun engagement ne fera que j'oublierai le fait que je les désirerais sûrement toujours dans un coin de ma tête. En amour, en amitié ou juste pour partager un peu de luxure.
Ils sont juste littéralement les hommes et les femmes de ma vie.

Comme dirait une amie, 'BAAM, prends-toi ça dans la gueule'

XD à ce point là?

Oui T____T

Très jolis.
J'aime beaucoup ta façon d'écrire!

Merci

J'aime *.*

Même si j'ai pas tout compris, j'aime beaucou U_u

C'est un peu court mais ce passage 'Je veux des reponses, des vaccins contre les araignées. j'veux encore me tromper.' est vraiment bien *_*

Bon moi j'ai écris un yuri mais jle mettrais pas. Sinon, vous allez bien?

Je vais bien, oui, mieux qu'avant T_T'

ROBIIIN ÉPOUSE-MOA TU RESSEMBLES TROP À JEAN-DAMIEEEEN *_*

Désoléée =X

xD